mardi 19 août 2014

Randonnées dans la vallée de Meribel : Tougnete – Mottarets via le Roc de Fer et le Plan de l’Homme





Une belle randonnée encore, après une montée en télésiège jusqu’à Tougnète (point de départ pour la rando sur le Roc de Tougne aussi) petite pause pour regarder les parapentes s’élancer dans le vide. 


Tourner le dos au Roc de Tougne et emprunter le chemin de crête en direction du Roc de Fer. Au Verdet profiter du paysage, sur le chemin on a aussi revu le Mont Blanc. 






Au Verdet tomber nez à nez avec des bouquetins moutons qui se cachent la tête dans des trous de rocher pour se protéger de la chaleur (oui il faisait bon !). Les déranger par notre présence et les voir jouer à qui monte le plus haut, comme des chamois. Ils ont le sabot assuré les bougres !







Puis revenir sur ses pas quelques centaines de mètres pour redescendre vers le plan de l’Homme par une piste de ski large comme un autoroute.



Continuer jusqu’à Arpasson, et là tomber en extase devant un aigle royal, reconnaissable aux tâches blanches sur le dessous de ses ailes.



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lundi 18 août 2014

Randonnée dans la vallée de Pralognan : le glacier du Génépi ou Génépy

Exceptionnellement, cette randonnée a été faite avec un guide. C'était la première fois pour toute la famille, et franchement on n'a pas été déçu. Notre guide, Freddy Vençon, nous a expliqué plein de jolies choses, sur l'histoire, la géologie mais aussi la flore locale. Le groupe avec qui nous étions était sympathique aussi.

Pour débuter cette randonnée nous nous sommes rendus dans une autre vallée, celle de Pralognan, en gros tu descends de Meribel, tu laisses Courchevel et tu prends la vallée suivante. Il faut compter environ 45 minutes de voiture mais la vallée en vaut la peine.

une vache pour faire plaisir à Falconhill

 Nous nous sommes garés le plus loin possible sur la route d'accès, empruntée sur la droite à l'entrée de Pralognan). Nous étions rendus au pont du Diable.

Et nous commençâmes à monter vers Montaimont, où subsistent une dizaine de halles, destinées à abriter les vaches. Un chalet porte encore une date : 1866. Les gens du Parc ont aussi un chalet leur permettant de faire leur travail de surveillance ou de recensement.



et on a continué à monté vers le glacier :





En chemin nous avons vu des edelweiss (nous n'aurions pas été accompagnés par un guide on serait passés complètement à côté) :

Et après un pique nique au pied du glacier, le guide nous montra le saint du saint :





Et puis on a pu toucher la neige glacée :

 Et puis il a fallu redescendre, on a croisé des marmottes :





 refait le plein des gourdes :
 et vu le petit mont blanc, blanc non pas de galce, mais de gypse.

Une bien belle randonnée, qui nous a donné envie de plus découvrir cette vallée, peut-être une prochaine année...
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jeudi 14 août 2014

Randonnées dans la vallée de Meribel : de la Saulire au Lac de Tueda via le col du fruit




Profitant toujours des téléphériques nous partîmes le lendemain sur l’autre versant de la vallée de Méribel, direction la Saulire. Après une descente sur 50 mètres de dénivelé à pied, nous nous installâmes confortablement dans des œufs et montâmes allègrement les 1 000 mètres de dénivelés en 20 minutes, sous les sifflements de marmottes se réveillant dans le soleil du matin.

Arrivés à la Saulire nous fûmes époustouflés par le panorama. Les panoramas devrais-je dire : celui sur la vallée de Méribel (et plus loin le batman des aiguilles d’Arves)





et celui sur la vallée de Courchevel (t’as vu ? là-bas au fond c’est la face italienne du Mont Blanc)
Après avoir régalé nos yeux, nous prîmes la direction du col du fruit par la crête au niveau du Pas du Lac.





  Avec vue sur le Roc de Tougne

Après 2 heures environ entre les cailloux de la crête et une pause pique-nique, nous prîmes à droite au col du fruit pour redescendre sur un versant herbeux donnant sur le lac de Tueda. 1 000 mètres environ de descente, en lacets, avec vue sur le glacier de Gebroulaz, le lac des Fées et plus bas Tueda.

Après cette descente rapide, arrivée sur un large chemin dans le fond de la vallée, parallèle au torrent qui alimente le lac de Tueda. Encore quelques rencontres sympathiques : des marmottes et des grenouilles.
Une randonnée sympathique mêlant haute montagne et vallée enherbée. Beaucoup de descente mais on se voyait mal attaquer les vacances avec 1 000 mètres d’ascension…
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mercredi 13 août 2014

Randonnées dans la vallée de Meribel : le Roc de la Tougne




Comme Falconhill et Virginie Bichet nous parlent de leurs vacances à la montagne, moi aussi je vais vous raconter les miennes, il n’y a pas de raison.

Tous les ans nous allons deux semaines en montagne pour marcher, à chaque fois dans des massifs différents (Pyrénées orientales, Vallée de la Maurienne, Pyrénées côté Perpignan) et cette fois en Tarentaise, à Méribel.

Nous avons comme Virginie la chance d’avoir des enfants qui aiment bien la randonnée, donc pour s’échauffer un peu, nous avons pris un téléphérique et sommes montés au Roc de la Tougne.


Là des restes nous ont confirmé les dires du gardien du téléphérique : 10 à 20 cm de neige au même endroit une semaine auparavant…



Mais bon on comptait bien profiter du grand air : du coup on a pris à gauche en sortant du téléphérique et cheminé le long de la crête séparant la vallée de Méribel et celles des Menuires.



Le temps était encore humide et nuageux…
De ce fait le Roc de la Tougne a présenté un moment un peu délicat à passer car les cailloux mélangés à la terre du sentier se désolidarisaient. Mais avec un peu d’audace et de persévérance tout le monde a fini par passer sans encombre. 











Passée cette épreuve, pique-nique, vite troublé par une remontée rapide des nuages. Du coup on a pris à gauche après le Roc, et on a commencé à redescendre vers Mottaret, sous le soleil, le Roc nous protégeant des nuages restés bloqués sur le versant des Menuires.



Rendus à la Pierre Creuse (à la même altitude que le départ du téléphérique Arpasson-Tougnete, nous avons rencontré nos premières marmottes (un marmotton et un adulte le surveillant de haut) : cadeau pour gâtifier Nekkonezumi :





Cette randonnée de mise en jambe nous a pris environ 3 heures sans compter les pauses déjeuner et gagas-devant-les-marmottes. Comme ce n’était que de la descente elle fut classée comme facile par tout le monde, hormis le passage un peu scabreux sur le Roc.

Le lendemain, lorsque nous observâmes le Roc depuis l’autre versant, on était un peu fiers quand même, mais on ne se doutait pas des surprises qui nous attendaient au départ de cette seconde randonnée…




PS : Non Nicolas on n’a pas vu de bouquetins, on n’a pas eu la chance de Shaya


PS 2 : à la montagne aies toujours sur toi un cendrier de poche, ceux d’Aucard de Tours ont trop la classe en plus !
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